
Le lendemain, on sortait, on cherchait où se trouvait la plage des échangistes, on voyait comment les choses se passaient là-bas. Nous étions excités quand nous nous sommes levés. Antoine a fait le tour de l’appartement nu et avec une bite semi-rigide qui se balance pour tout arranger. Je l’ai regardé depuis mon lit, une main entre mes jambes, et j’ai senti que j’étais déjà ou encore mouillée. C’était d’hier soir ? Ou étais-je déjà excitée avant ce que nous allions voir ? En somnolant, je pensais que les choses allaient très vite avec moi maintenant, si loin de chez moi. Ce n’est que récemment que j’étais une salope ennuyeuse et anxieuse qui n’osait pas toucher sa propre chatte. Et devriez-vous me voir maintenant! Je passai mon doigt sur mon nœud de plaisir et soupirai. De plaisir. Antoine leva les yeux et sourit, comme s’il pouvait voir ce que je faisais.
Je suis sorti du lit et j’ai traversé l’appartement aussi nu qu’Antoine. Nous sommes allés prendre le petit déjeuner sur le balcon, également nus. Les voisins ont dû s’y habituer. Je me sentais forte et stimulante, et fière de mon corps. Cela n’était pas arrivé si souvent. Peut-être que je voulais même que les voisins et les autres personnes me voient comme ça. Cela a augmenté l’excitation. Après le petit déjeuner, nous sommes allés faire nos valises. De quoi avions-nous besoin ? Des serviettes, de la crème solaire, quelque chose à manger et à boire (des préservatifs ?) et rien d’autre. Alors que j’attrapais mon sac et que je me tenais légèrement penché sur mon lit, Antoine est arrivé derrière moi. Il a pressé son bas-ventre contre mes fesses et j’ai senti sa massue dure si obliquement remonter de mes fesses à ma pression inférieure. J’ai grimacé. Puis je me suis retourné et me suis redressé. Son sexe me piquait maintenant le ventre. J’ai embrassé Antoine vigoureusement et longuement puis j’ai glissé ma bouche embrassant son cou jusqu’à sa poitrine, jusqu’à son ventre, jusqu’à ce que j’arrive à sa belle bite excitante. Doucement je l’ai embrassé là aussi et j’ai senti ses grosses couilles avec ma main. Il était excité et je… ma chatte était en feu. Mais nous avions tous les deux quelque chose comme de ne pas tirer sur notre poudre à canon maintenant. Nous nous sommes aussi dit cela sans y croire nous-mêmes. Non, non, pas maintenant… Je me suis arrêté. J’étais bon à ça. Antoine se contrôlait aussi. Nous nous sommes regardés de loin. Doit-on encore cirer ? Antoine avait complètement dépouillé sa belle virilité, y compris son scrotum, mais avait laissé ses poils de poitrine noirs. Je pensais que c’était sympa. J’avais moi-même enlevé tous mes poils pubiens avant-hier et une brume noire comme la barbe de Lubbers gisait sur ma colline. “Plus rien à faire” rigola Antoine.