La journée avait recommencé tôt. L’alarme s’est déclenchée et j’ai marché endormi vers la douche. Aujourd’hui était le jour où nous nous reverrions et heureusement plus longtemps que toutes les autres fois. J’ouvris le robinet et enlevai mon caleçon… L’eau chaude coulait sur moi et mes pensées allaient à cet après-midi en combinaison avec les temps passés. J’ai senti l’excitation grandir, mon corps a réagi… Mes mains ont glissé vers le bas et j’ai caressé mon sexe. Les pensées de ses sons, son corps et la nuit à venir le rendaient dur. Ma main s’en saisit et fit doucement des allers-retours, je sentis mon excitation grandir, je n’allais pas tenir longtemps… Je me sentis venir et sous l’eau tiède je me suis reposé. Au bout de quelques minutes, je suis sortie de la douche, je me suis séchée et je me suis habillée. Après un petit déjeuner rapide, je suis monté dans la voiture pour commencer la journée de travail. Sur mon téléphone j’ai vu qu’elle devait encore dormir, il n’y avait pas encore eu de réponse. La radio jouait de la musique, je conduisais tranquillement jusqu’au bureau et laissais la journée faire son travail… Au loin, le train entra dans la gare et finalement elle en sortit. Je l’ai vue marcher sur mon chemin, si belle, si sexy, si gracieuse. Nous nous sommes embrassés et le baiser était profond. Je l’ai attirée vers moi et j’ai senti son parfum, sa main s’est glissée dans la mienne et ensemble nous avons marché tranquillement jusqu’à l’hôtel. Dans l’ascenseur, elle a rampé vers moi et a commencé à m’embrasser. J’ai senti sa bouche, sa langue, ses mains. Il s’est arrêté brusquement lorsque nous sommes arrivés au 5ème étage. Confus, nous avons marché jusqu’à la chambre. J’ai ouvert la porte et nous sommes entrés avec impatience. Nous avons rangé nos affaires et elle m’a poussé avec impatience sur le lit. Elle a commencé à m’embrasser violemment, l’excitation était intense. Je l’ai tirée sur mes genoux et je l’ai sentie bouger, ses mains commençant à déboutonner ma chemise une par une. J’ai passé son pull par-dessus sa tête et d’un seul mouvement j’ai ouvert sa chemise. Ses seins, enveloppés dans un soutien-gorge rouge, me montraient le chemin, elle savait à quel point je les trouvais beaux. Elle a embrassé ma bouche sur le tissu, son téton était déjà raide, les chemises se sont détachées et sont tombées par terre. Son soutien-gorge suivit bientôt. Je la regardai alors que mes mains trouvaient ses seins. Je les caressais doucement alors que ma bouche trouvait sa bouche. Elle a mis ses mains derrière elle, ses seins pointés vers moi. Je sentais les tétons durcir sous la caresse de ma main. Notre respiration s’accéléra… Elle bougea légèrement et ouvrit son pantalon. Avec une lenteur atroce, elle le tira vers le bas, descendant du lit d’un air taquin. Elle se tenait devant moi dans juste sa culotte, ses mains sur ses côtés, ses seins fermes et serrés. Cette vue m’a rendu fou, et sans réfléchir, j’ai enlevé mon pantalon et l’ai jeté à côté du sien. Elle s’est assise à califourchon sur moi, ses yeux ont trouvé les miens, elle a posé ses mains sur ma poitrine et en me regardant, elle a commencé à bouger. Sa respiration changea, je sentis mon excitation.
